9 juin 2009
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12:20
Le pays des danses qui font sourire c’est le Penjab . L’état qui se trouve juste au dessus du Rajasthan. Si vous assistiez à une représentation de danse vous comprendriez pourquoi elle véhicule cette gaieté. Il suffit de donner beaucoup d’énergie, de remonter une de ses jambes à l horizontal et de faire quelques mimiques expressives avec son visage et on y est presque.
Au pays des danses qui font sourire, comme ds tous les pays, on s amuse, on pleure on rit, il y a des méchants et des gentils ….. Je vous laisse chercher l’air auquel je pense quand j’écris ces quelques lignes.
Il y a surtout des grands messieurs qui ont plein de cheveux, des barbes bien garnies, des turbans de toutes les couleurs sur la tête et un petit poignard : le kirpan. On les appelle « les sikhs ». C’est une des religions indiennes. Au Pendjab, ils ont leur Vatican a eux, le « le Golden temple » à Amritsar. Comme son nom l’indique, il est recouvert de 615 kg d’or. Du coup, les Hindous, jaloux du succès de cette gurdwara ont décidé, eux aussi de
construire un temple sur l’eau (cf photos). Le plus original dans histoire c’est qd même cette allée au dallage en forme de slip. Mais pourquoi des slips, on a beau chercher on ne voit pas le message, alors si vous avez une vague idée, que l’on puisse mettre un peu "de culturel" sur notre Blog ca nous arrangerait….
A Amritsar nous avons également découvert un temple plutôt insolite. Le Mata temple. Prenez une fête foraine, allez directement a l’attraction ou il y a tout un parcours du combattant se finissant par une sorte de roue de Hamster et vous avez l’impression d’être dans le Mata temple, sans la roue de hamster.
Au pays des danses qui font sourire, sachez que nous sommes des êtres magnifiques, que l’on aime a prendre en photos et à qui je vous l’assure, on demande des autographes. Alors ca si ça en jette pas !!!!
Je vous ai parle du Vatican des Sikhs, mais au Pendjab nombreux sont les lieux de pèlerinage de cette communauté religieuse, fortement représentée. Nous prenons donc la route pour Anandpur Sahib, lieu de culte regroupant plusieurs gurdwara (temples siks). Nous en profitons pour manger à l’œil ds lune d’entre elle. Tu y vas a toute heure et que tu sois musulmans, chrétiens, jains, bouddhiste…. On t’offrira le couvert.
Autre fait qui vaut la peine d'être rapporté, c’est la cérémonie de clôture, a laquelle nous avons assiste entre les frontières Indienne et Pakistannaise. Comment décrire ce moment emprunt d’un patriotisme malsain ou celui qui gueulera le plus fort l’emportera. C’est a bâbord qu’on gueule qu’on gueule c’est a bâbord qu’on gueule le plus fort !!!!!
Au pays des danses qui font sourire, on se met à la french Touch. Si je vous dis le Corbusier ca vous parle ? Alors pour ceux qui n’arrivent jamais à gagner le moindre camembert au trivial, c’est un architecte français auquel les indiens ont fait appelle pour construire une nouvelle ville, baptisée Chandigarh. Quelle étonnante impression on ressent lorsque l’on arrive dans cette ville bien différente de celle que nous avons pu visiter. Toutes les constructions y sont rectilignes, il y a de grandes artères, des parcs et des jardins partout…. Le Corbusier a gâté la ville de ses grandes constructions toutes moches qui nous rappelle notre Cite Radieuse de Nantes. Fières d’être français !!!
A Chandigarth, nous avons découvert un endroit complètement atypique « le rock garden ». Ce jardin est à l’initiative du farfelu Nek Chand. Tous les jours il ramassait des objets et débris ds l’idée de créer un parc tel qu’il se l’imaginait. Le résultat est incroyable !!!!!
A Chandigarth, on vous la dit auparavant, tout semble différent. La circulation notamment, semble beaucoup moins chaotique. Serait ce du a l’omniprésence des policiers dans la ville ? D’ailleurs ceux-ci nous ont bien surpris. Nous avons été témoins de deux scènes. Lune alors que nous nous dirigions vers le centre ville. Un jeune homme sur son vélo se fait dégonfler son pneu avant par un policier. Et oui c’est la punition pour ne pas avoir respecté la loi interdisant de faire du vélo dans ce périmètre. Le crime, c'est mal !
Une autre fois, nous nous trouvons dans norte cyclorikshaw . Un policier à pied cherche a aller quelque part, rien de plus simple il s’assoit derrière la moto d’un homme et lui demande de l’y conduire. Pourquoi se payer les services d’un rickshaw lorsque l’on peut se faire conduire la ou on veut par n’importe qui ?
Au pays des danses qui font sourire, comme ds tous les pays, on s amuse, on pleure on rit, il y a des méchants et des gentils ….. Je vous laisse chercher l’air auquel je pense quand j’écris ces quelques lignes.
Il y a surtout des grands messieurs qui ont plein de cheveux, des barbes bien garnies, des turbans de toutes les couleurs sur la tête et un petit poignard : le kirpan. On les appelle « les sikhs ». C’est une des religions indiennes. Au Pendjab, ils ont leur Vatican a eux, le « le Golden temple » à Amritsar. Comme son nom l’indique, il est recouvert de 615 kg d’or. Du coup, les Hindous, jaloux du succès de cette gurdwara ont décidé, eux aussi de
construire un temple sur l’eau (cf photos). Le plus original dans histoire c’est qd même cette allée au dallage en forme de slip. Mais pourquoi des slips, on a beau chercher on ne voit pas le message, alors si vous avez une vague idée, que l’on puisse mettre un peu "de culturel" sur notre Blog ca nous arrangerait….A Amritsar nous avons également découvert un temple plutôt insolite. Le Mata temple. Prenez une fête foraine, allez directement a l’attraction ou il y a tout un parcours du combattant se finissant par une sorte de roue de Hamster et vous avez l’impression d’être dans le Mata temple, sans la roue de hamster.
Au pays des danses qui font sourire, sachez que nous sommes des êtres magnifiques, que l’on aime a prendre en photos et à qui je vous l’assure, on demande des autographes. Alors ca si ça en jette pas !!!!
Je vous ai parle du Vatican des Sikhs, mais au Pendjab nombreux sont les lieux de pèlerinage de cette communauté religieuse, fortement représentée. Nous prenons donc la route pour Anandpur Sahib, lieu de culte regroupant plusieurs gurdwara (temples siks). Nous en profitons pour manger à l’œil ds lune d’entre elle. Tu y vas a toute heure et que tu sois musulmans, chrétiens, jains, bouddhiste…. On t’offrira le couvert.
Autre fait qui vaut la peine d'être rapporté, c’est la cérémonie de clôture, a laquelle nous avons assiste entre les frontières Indienne et Pakistannaise. Comment décrire ce moment emprunt d’un patriotisme malsain ou celui qui gueulera le plus fort l’emportera. C’est a bâbord qu’on gueule qu’on gueule c’est a bâbord qu’on gueule le plus fort !!!!!
Au pays des danses qui font sourire, on se met à la french Touch. Si je vous dis le Corbusier ca vous parle ? Alors pour ceux qui n’arrivent jamais à gagner le moindre camembert au trivial, c’est un architecte français auquel les indiens ont fait appelle pour construire une nouvelle ville, baptisée Chandigarh. Quelle étonnante impression on ressent lorsque l’on arrive dans cette ville bien différente de celle que nous avons pu visiter. Toutes les constructions y sont rectilignes, il y a de grandes artères, des parcs et des jardins partout…. Le Corbusier a gâté la ville de ses grandes constructions toutes moches qui nous rappelle notre Cite Radieuse de Nantes. Fières d’être français !!!
A Chandigarth, nous avons découvert un endroit complètement atypique « le rock garden ». Ce jardin est à l’initiative du farfelu Nek Chand. Tous les jours il ramassait des objets et débris ds l’idée de créer un parc tel qu’il se l’imaginait. Le résultat est incroyable !!!!!
A Chandigarth, on vous la dit auparavant, tout semble différent. La circulation notamment, semble beaucoup moins chaotique. Serait ce du a l’omniprésence des policiers dans la ville ? D’ailleurs ceux-ci nous ont bien surpris. Nous avons été témoins de deux scènes. Lune alors que nous nous dirigions vers le centre ville. Un jeune homme sur son vélo se fait dégonfler son pneu avant par un policier. Et oui c’est la punition pour ne pas avoir respecté la loi interdisant de faire du vélo dans ce périmètre. Le crime, c'est mal !
Une autre fois, nous nous trouvons dans norte cyclorikshaw . Un policier à pied cherche a aller quelque part, rien de plus simple il s’assoit derrière la moto d’un homme et lui demande de l’y conduire. Pourquoi se payer les services d’un rickshaw lorsque l’on peut se faire conduire la ou on veut par n’importe qui ?
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Nous avions choisi Bikaner comme premier point de départ. A quelques heures de bus de Pilani, cette ville de 500 000 habitants était un point de chute intéressant pour ensuite rejoindre Jaisalmer. Et puis, à la recherche de sensations fortes nous voulions à tt pris visiter ce fameux temple envahi par les rats…… Nous en avons vu des choses étranges : ce cycliste a l’allure atypique dans cette cohorte urbaine et ce transsexuel à la mine patibulaire, réclamant de l’argent aux habitants du quartier.
sommes, c’est d’aller voir l’Hawa Mahal (ou Palais des vents), et là, crotte de bique, c’est fermé. Bizarre, nous pensions que la façade n’était pas dissimulée derrière un mur. Bref, ce ne sera pas pour ce soir, marche arrière.
Nous nous installons dans le quartier de Pahar Ganj, le secteur routard qui est complètement rempli de hippies dont certains sont là depuis plusieurs générations ! A Delhi, nous visitons plusieurs monuments religieux : la mosquée Jama Masjid (la plus grande d’Inde), un temple Jaïn, un temple Sikh où il y a un flux permanent de personnes et où on peut se nourrir gratuitement au frais de la communauté Sikh. Dans chaque site, règne une atmosphère bien particulière.
Avec un peu de retard voici le récit de notre passage à Nawalgarh, Lachhmangarth et Jhunjhunarth (en fait c’est Jhunjhunu mais pour la rime, c’est mieux).
les chèvres (qui soit dit en passant portent des sortes de robes pour une raison qui nous apparaît encore obscure), les chiens et les vaches cohabitent dans les rues, les habitants prennent leur temps autour d’un thé et nous regardent passer fixement, du haut des toits nous nous apercevons que notre passage ne laisse pas indifférent… Apres s’être baladé, nous rentrons à l’hôtel où nous partageons un copieux repas en compagnie d’un groupe de 5 jeunes australiens et de 3 vieux allemands : échange de bons plans.
3eme journée, départ pour la “grand ville”, chef du district de Pilani : Jhunjhunu et une petite bourgade toute proche, Baggar. A Baggar, ville toute perdue, nous nous retrouvons nez à nez avec un jeune Américain et une jeune Canadienne. Mais attention, impossible de les identifier dans leur tenue d’autochtone. Il n’y a que leurs accents qui ne laissent aucun doute….. Ce village se révèle pleins de charmes avec ses ruelles sablonneuses et ses maisons colorées. En plus, nous avons l’honneur de pouvoir entrer dans la maison de vacances des Pirmal (les riches du coin) et de visiter la chambre à coucher de papa et maman Pirmal.