30 janvier 2009
5
30
/01
/janvier
/2009
05:05
Cinq janvier 2009, Paris sous la neige. Quelle vision plus idyllique aurait-on pu souhaiter pour cette dernière journée en France ? Bien sûr, cette scène, nous ne l’avons observé que de l’aéroport Charles de Gaulle, et ce, pendant de longues heures. Car, si plaisant fut le spectacle, cette neige nous a quand même fait poireauter de longues heures dans les files d’attentes de British Airways, puis de Air France et pour finir de Emirates. Un vol annulé et une correspondance modifiée plus tard, nous foulâmes enfin le sol Indien. Par chance, le taxi envoyé à l’aéroport de Delhi par notre directeur d’université, M. Bhatnagar, nous attendait encore. C’est ainsi qu’accompagnés de nos deux chauffeurs, nous prîmes la route de Pilani, après un petit crochet pour récupérer la fille et la petite fille de Bhatnagar.
Les premiers instants sur notre territoire d’adoption se déroulèrent comme lors d’une séance de cinéma. Confortablement assis dans le taxi, nous regardions défiler les paysages et la fatigue aidant, nous nous laissions transporter passivement vers notre village à imaginer notre vie future (nous étions debout depuis plus de 24 heures… au moins !). Alors que nous étions au bord de l’endormissement, les chauffeurs nous demandent si l’on a faim ou soif – euh non merci ça va aller. Peu après, la fille de Bhatnagar nous informe qu’en réalité, ils aimeraient bien s’arrêter pour prendre un thé afin de se réveiller un peu (ils nous ont attendus une journée entière dans l’aéroport…). Tout penaud, nous nous empressons de re-formuler notre réponse – un thé, oui pourquoi pas, bien sûr !
Halte chaï sur le bord de la route
Les premiers instants sur notre territoire d’adoption se déroulèrent comme lors d’une séance de cinéma. Confortablement assis dans le taxi, nous regardions défiler les paysages et la fatigue aidant, nous nous laissions transporter passivement vers notre village à imaginer notre vie future (nous étions debout depuis plus de 24 heures… au moins !). Alors que nous étions au bord de l’endormissement, les chauffeurs nous demandent si l’on a faim ou soif – euh non merci ça va aller. Peu après, la fille de Bhatnagar nous informe qu’en réalité, ils aimeraient bien s’arrêter pour prendre un thé afin de se réveiller un peu (ils nous ont attendus une journée entière dans l’aéroport…). Tout penaud, nous nous empressons de re-formuler notre réponse – un thé, oui pourquoi pas, bien sûr !
Halte chaï sur le bord de la route